Le remboursement peut compenser votre obligation pour l'année suivante, surtout si vous êtes un déclarant de l'annexe C. En appliquant votre remboursement aux impôts de l'année suivante, vous vous protégez contre un passif potentiellement élevé si vous envisagiez de vendre un immeuble commercial qui aurait réalisé des plus-values. Ou bien vous avez vendu des actions avec un profit qui vous placerait également dans la catégorie des plus-values. Vous avez gagné une somme importante à la loterie, le remboursement pourrait amortir une partie de l'impôt.
En bref, si vous pensez que vous aurez un impôt à payer dans l'année en cours, alors sur la déclaration d'impôt que vous remplissez pour l'année qui vient de s'écouler, il peut être avantageux pour vous d'appliquer le remboursement.
Si vous devez de l'argent d'une année antérieure, le remboursement ne vous sera pas envoyé et vous ne pourrez donc pas le reporter.
Un exemple précis est que vous avez eu droit à la DPA l'année précédente. Si, au cours de l'année où vous vous trouvez actuellement avant de déclarer vos impôts, vous vous rendez compte que vous devrez payer à la fin de l'année en cours, alors la cession de votre remboursement permettra de payer tout ou partie de l'obligation.
Gardez à l'esprit que la “taxe” due à la DCA est uniquement perçue sur vos remboursements. Si vous continuez à avoir une obligation de paiement ou si vous n'avez pas de remboursement à vous faire, cette obligation n'est pas perçue auprès de vous.